Green Cactus: Fiche sur le Ophioglossum pendulum

Ophioglossum pendulum

 

Hauteur:
? Cm
Largeur
? Cm
Pays d'origine
Amerique
Environnement
Soleil
Couleur des fleurs
Inconnue
   

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Descritption

À la différence de la plupart des cactées, ce genre est épiphyte et comporte pas ou peu d'épines, ou les épines sont remplacées par des soies (poils spinulescents, généralement blancs, qui pourraient jouer un rôle dans la collecte de la rosée en saison sèche ou lors des nuits fraiches).
Les rhipsalis sont parfois appelé cactus-gui ou cactus-jonc , mais ne sont pas des plantes parasites.
Les anglophones les classent dans un type végétal dit Mistletoe cactus (cactus-gui) Les Rhipsalis sont de forme variées, toujours retombantes, en rameaux ou « articles » subdivisés, chez les spécimens adultes. Ces rameaux ou segments sont cylindriques, nervurées ou parfois très aplatis. La spinescence (port d'épines) varie selon les espèces et l'âge des articles (certaines espèces ne produisent jamais d'épines, d'autres n'en produisent que sur les jeunes rameaux, ou les plus anciens).

 

Autre

La morphologie des rhipsalis est très variable selon l'espèce. Certaines poussent debout ou grimpent, d'autres pendent.

Tiges : Il en existe trois formes principales, cylindriques, anguleuses ou côtelées et plates.
Les tiges sont toujours succulentes, mais le degré de succulence varie selon les espèces. Certains espèces ont des tiges épaisses et couverte d'une cuticule assez résistante (par exemple Rhipsalis neves-armondii] alors que d'autres sont minces, filiformes (Rhipsalis baccifera par exemple ou Rhipsalis clavata).
Chez la majorité des espèces, les épines sont manquantes ou n'existent qu'au stade juvénile (elles sont plus important chez Rhipsalis dissimilis). on en trouve parfois sur le fruit (ex : photo-ci jointe du fruit de Rhipsalis pilocarpa). Il est fréquent que les tiges deviennent violettes ou rougeâtres ou soient rougeâtres chez les jeunes pousses exposées au soleil, voire franchement rouge vif pour certaines espèces quand elles sont exposées au plein soleil (R. horrida à Madagascar par exemple, aux environs d'Ihosy) 2. Ce genre est réputé avoir besoin d'un substrat acide, mais on trouve R. horrida en situation rupicole sur des roches calcaires (à Madagascar) 2. Guillaumet écrivait en 1972 : « cette espèce a toujours étonné les collecteurs : "Il est très remarquable que cette espèce se présente à la fois comme épiphyte de la forêt native humide et comme épilithe des rocailles arides du versant occidental" (H. Humbert 12965, P, vallée de la Manambolo, bassin du Mandrare). - "Rochers gneissiques dans le bush xérophile, non en épiphyte, mais enraciné" (H. Humbert 11618, P, Betroka). "Jeunes plants à rameaux dressés, cactiformes, creusés en gouttières ou à quatre pans, parsemés de poils spinulescents en étoile. En s'allongeant, les rameaux deviennent cylindriques, articulés, longuement pendants, ramifiés au sommet, s’allongeant jusqu’à 1 ou même 2 m. Le fruit est vert" (H. Perrier de Ia Bûthie 1786, P, Causses du Kelifely). »2.

Cette plante est caractérisée par une acrotonie importante (alimentation privilégiée des articles terminaux).

Fleurs Les fleurs sont souvent discrètes (+/- 1 cm de diamètre chez la plupart des espèces). Une exception est (Rhipsalis pilocarpa) qui produit une abondante fructification couvrant densément les tiges.
Les fleurs sont le plus souvent blanches ou blanchâtres, jaunâtres chez Rhipsalis dissimilis et Rhipsalis elliptica et rouge uniquement chez Rhipsalis hoelleri. .
Elles sont latérales ou terminales, actinomorphe avec un périanthe très segmenté, des étamines et des carpelles.

fruits ; ce sont toujours des baies rondes, qui évoquent les fruits du gui, chez certaines espèces. Les fruits sont souvent blancs ou blanc-vert, mais sont orangés, jaunes, roses, violets ou noirs chez quelques espèces. Une espèce au moins fait preuve de viviparité3.

 

 

 

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